Les enjeux de la négociation sur la modernisation du marché du travail
Dominique Meda propose une analyse extrèmement précise sur le site Désirs d'Avenir des enjeux de la négociation interprofessionnelle consacrée au fonctionnement du marché du travail qui s'est close hier en détaillant ce que serais un bon accord et un mauvais accord.
Le modèle danois de flexsécurité préconisé a lui aussi ses limites sur lesquelles il faudra travailler: le coût tout d'abord avec les effets pervers qu'on avait pu constater en France avec le PARE -indemnisation non dégressive du chômage- qui avait été ensuite abandonné.
Ensuite, des statuts adaptés à chaque filière ont bien sûr un intérêt en terme d'adaptation mais il faudra prévoir dans ce cas une réelle fluidité en ce qui concerne le transfert d'un statut (fonctionnaire, travailleur privé, travailleur non salarié...) à un autre ce qui actuellement n'est pas prévu. La continuité de la sécurité sociale comme celle du droit à la formation semble ainsi capitale si on veut que la flexibilité fonctionne au bénéfice des différents acteurs économiques.
Le modèle danois de flexsécurité préconisé a lui aussi ses limites sur lesquelles il faudra travailler: le coût tout d'abord avec les effets pervers qu'on avait pu constater en France avec le PARE -indemnisation non dégressive du chômage- qui avait été ensuite abandonné.
Ensuite, des statuts adaptés à chaque filière ont bien sûr un intérêt en terme d'adaptation mais il faudra prévoir dans ce cas une réelle fluidité en ce qui concerne le transfert d'un statut (fonctionnaire, travailleur privé, travailleur non salarié...) à un autre ce qui actuellement n'est pas prévu. La continuité de la sécurité sociale comme celle du droit à la formation semble ainsi capitale si on veut que la flexibilité fonctionne au bénéfice des différents acteurs économiques.